La truite
Courbet Gustave (1819-1877)
1873
huile sur toile
Dimensions : 0.655 m x 0.985 m
Paris, musée d’Orsay

Photographie de
jean louis mazieres

« Autoportrait allégorique » N’importe quoi !

Notice du Musée d’Orsay :

« Courbet, absorbé par l’action, ayant vraisemblablement peu créé pendant les brèves semaines de la Commune, réagit en peintre a posteriori. Il stigmatise alors avec ambition son emprisonnement (Portrait de l’artiste à Sainte-Pélagie, Ornans, musée Courbet), mais surtout reprend son exaltation lyrique et charnelle de la nature dans une éblouissante série de natures mortes. Certaines, comme la Truite (Zurich, Kunsthaus), sont chargées d’une dimension autobiographique incontestable. Portant l’inscription latine In Vinculis Faciebat (Fait dans les liens), la toile montre un animal blessé, entre la vie et la mort, qu’il faut lire comme un autoportrait allégorique de l’artiste. »

Décidément, les historiens de l’art sont bien farfelus !

Pourquoi Gustave Courbet n’aurait-il pas eu le droit de peindre une truite sans penser à son état mental ou physique ?

Une autre divagation des historiens d’art : Le « Paysage fantastique aux roches anthropomorphiques »