Selon plusieurs journaux de l’époque, le « Parisien » Courbet vient de transporter son atelier à Saillon. Confirmation évidente de l’article du Confédéré du Valais (12 novembre 1874) l’on signale la présence du peintre.

Le Confédéré de Fribourg du 20.11.1874

« Le célèbre peintre parisien, M . Courbet , vient de transporter son atelier dans le voisinage des gorges du Saillon, afin de pouvoir se livrer en toute tranquillité à la pratique de son art. »